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Il s'agit manifestement de la fin d'un psychodrame, fondamentalement symbole de lutte,
lutte contre la mort, contre les éléments, contre les forces hostiles, contre soi-même, sa peur,
sa faiblesse, ses doutes.
Combat, hasard, simulacre ou vertige, il s'agit dans ce jeu de
dégager les sources de la spontanéité pour pouvoir
s'adapter. Au lieu d'être déterminé par son
passé, il apparaît au contraire comme un mobile, sa
propre créativité étant doté d'un
haut coefficient d'amplification.
S'adapter, tout en restant soi-même, à tous les rôles que la vie exigera de nous.
Le jeu, lorsqu'on est gagnant, est libérateur et confère
à celui qui s'y adonne l'éclat de la victoire.
LIBERATION
( 65 x 50 2000 )
Huile sur toile
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