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L'être est enfermé dans ses idées comme dans une prison, un monde clos, où rien n'entre ni ne sort.
Si les murs ont l'inconvénient de limiter, ils ont aussi l'avantage d'assurer une défense.
Ce lieu clos suggère le retour à la matrice, la
communication coupée, la séparation
entre moi et l'autre.
Le visage de l'homme est figé, son esprit
s'en est allé, mais sa main droite en
mouvement, appelle la science à l'aide.
L'ombre qui se projette sur le mur semble apporter un espoir. Il y a
comme une lueur dans la nuit, comme une réponse à tout ce
que le sujet refusait jusqu'à présent de connaître
ou d'admettre.
DEPRESSION
(
65 x 54 2000 )
Huile sur toil
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